Plus proches que jamais
APC comprend que ces circonstances sans précédent nous placent face à de nouveaux défis, à la peur et l’incertitude qui vont de pair avec la pandémie du COVID-19. Nous savons quelles conséquences cela peut avoir sur notre travail, notre vie personnelle et celle des personnes que nous aimons. Chaque pays affronte la situation à sa façon, si bien que nous sommes dans des contextes aussi différents que les manières que nous trouvons de naviguer dans ces conditions instables.
En cette période d’exception, nous désirons vous transmettre notre solidarité et notre gratitude pour votre connexion avec nous. Si les distances physiques s’allongent, nous restons plus proches que jamais en nous envoyant mutuellement aussi bien des outils et des ressources que notre soutien. Il est également important pour nous de réfléchir à la manière de continuer la promotion des droits humains en ligne dans un tel contexte de pandémie mondiale. Il s’agit d’un problème commun à toutes et à tous, mais qui affecte différemment nos pays et communautés. Nous aimerions donc utiliser la force de notre réseau pour partager des ressources qui seront, nous le souhaitons, stimulantes, enrichissantes et rassurantes.
Vous trouverez ci-dessous des articles et des réflexions partagées au sein de notre communauté, qui lutte en faveur des droits humains liés à la technologie depuis plus de 30 ans. Comme nous réactualiserons régulièrement ces listes, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez d’autres ressources à partager.
Dans le contexte de pandémie de la COVID-19, dans le monde entier les sociétés de télécommunication collaborent avec les gouvernements, en vue de faciliter l’accès à internet. Tout le contraire de l’opérateur Orange Sénégal qui a pris la décision d’augmenter ses tarifs depuis le 22 Juillet 2020.
Global Partners Digital, ARTICLE 19, CIPESA, PROTEGE QV et le Centre pour les droits humains de l’Université de Pretoria ont récemment lancé le Disinformation Tracker, une carte interactive permettant de repérer les lois et politiques relatives à la désinformation de l’Afrique subsaharienne.
En l’absence de transparence gouvernementale sur la gestion de l’état d’urgence, de l’absence de contrôle parlementaire par l’Assemblée Nationale et des limites du contrôle juridictionnel, ce régime d’exception, qui a été instauré pour lutter contre la COVID-19, a suscité légitimement des préoccupations sur les droits numériques au Sénégal.
Face aux mesures prises par le Cameroun pour limiter la propagation de la COVID-19, Internet est devenu le moyen principal pour garder le contact avec les proches, travailler, étudier, se détendre et surtout assurer une relative continuité des services.
L’actualité au Sénégal est dominée par la publication sur internet et les réseaux sociaux de contenus privés. Au fur et à mesure de l’accroissement de l’accès à internet et de son appropriation par les populations, une tendance inquiétante s’est développée: la divulgation de contenus privés sur les réseaux sociaux.
Notre monde est en train de vivre une pandémie jamais vécue dont la transmission virale a surpris tout le monde. Dans cette situation, plusieurs gouvernants à travers le monde adoptent des mesures, des stratégies et des politiques de lutte contre la pandémie du coronavirus.
Après trois mois d’état d’urgence, les résultats montrent que l’état d’exception ne favorise en rien la protection des citoyens et empêche au contraire de concevoir une réponse de long terme à la menace sanitaire.
Pour lutter contre la COVID-19 de nombreux pays ont recours aux technologies numériques de surveillance des populations.
Cette lettre d’opinion propose des recommandations pratiques qui, une fois respectées, peuvent contribuer à garantir une société Congolaise équilibrée où chacun joue son rôle et où la population ainsi que les décideurs utilisent, promeuvent les TIC pour le bien de tous.
En l’absence d’informations officielles publiées par les autorités, ASUTIC entend recenser les éventuelles violations des droits humains en ligne publiées par la presse mais surtout en faisant appel aux citoyens.
Association pour le progrès des communications (APC) 2022
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