Spectre ouvert pour le développement

      Tous les trente mois, la quantité d’informations susceptibles d’être transmises sur une connexion internet sans fil peut doubler. Le sans fil pourrait bien offrir une large bande abordable à des millions de gens qui n’ont qu’une connectivité très faible. Mais la politique et la réglementation du spectre sont souvent inefficaces, opaques et mal fondées.

      Le projet « spectre ouvert » d’APC vise à faire comprendre la réglementation du spectre en étudiant la situation dans plusieurs pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Nous avons recherché comment comment le spectre est attribué, qui l’attribue et quels sont les cadres politiques ou réglementaires utilisés. Nous avons également étudié la question de la pénurie du spectre.

      La recherche arrive à point nommé car la croissance rapide du sans fil et du mobile en Asie, en Afrique et en Amérique latine soulève de nouvelles questions sur l’utilisation du spectre et sur les politiques qui le régissent. D’autre part, la migration des systèmes analogiques au numérique (p. ex., pour la télévision) a renouvelé l’intérêt des gouvernements pour la mise aux enchères du spectre pour produire des revenus.

      Les pays à l’étude sont le Brésil, l’Inde, le Kenya, le Nigeria et l’Afrique du Sud. Les documents ont été produits en anglais, en français et en portugais.

      Les objectifs de la recherche s’est terminée à la fin d’octobre 2010 sont les suivants :

      • sensibiliser aux enjeux de la réglementation du spectre des fréquences

      • être utile à ceux qui recherchent de nouvelles façons de réguler le spectre

      • étudier de nouveaux modèles d’allocation du spectre

      • examiner les arguments selon lesquels le spectre est insuffisant

      • contribuer à l’élaboration du Citizen’s Guide to the Airwaves.

      Lire la sythèse de politique [en anglais] ou le rapport sur le thème émergeant [en anglais].

      Les rapports de recherche et de courts articles synthétisant la recherche sont aussi disponibles.

       

      Équipe de projet 
      Anriette Esterhuysen Afrique du Sud
      Valeria Betancourt Équateur
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